Une escapade réussie à 99.9 %, je laisse le .1 % pour la place à l’amélioration puisqu’il le faut à tout les jours. Le sommet de Mansfield nous a laissé fouler sa roches givrées! (4393 pieds).
Dans une deuxième tentative, avec le fait que nous étions un plus grand groupe de grimpeurs, nous avons décidé d’emprunter la « long trail ». Un sentier bien balisé par des marques blanches sur les arbres qui, étrangement, disparaissent dans la neige rendue à une certaine altitude. Bon d’accord… 85 pouces (7 pieds) de neige sur les flancs de la montagne, on peux bien perdre les balises en moments donnés! Patrick, Frédéric. Serge, Marc, Benoit, ma sœur Lyne comme représentante féminine, et moi même, nous étions tous bien content de la journée qui s’amorçait.
Dans une deuxième tentative, avec le fait que nous étions un plus grand groupe de grimpeurs, nous avons décidé d’emprunter la « long trail ». Un sentier bien balisé par des marques blanches sur les arbres qui, étrangement, disparaissent dans la neige rendue à une certaine altitude. Bon d’accord… 85 pouces (7 pieds) de neige sur les flancs de la montagne, on peux bien perdre les balises en moments donnés! Patrick, Frédéric. Serge, Marc, Benoit, ma sœur Lyne comme représentante féminine, et moi même, nous étions tous bien content de la journée qui s’amorçait.
Je dois dire que j’ai été un peu surpris de la grande différence entre les cotes de difficulté de la Long trail versus la Hell Brook trail. La Hell Brook présente un sentier nettement plus difficile et moins bien défriché que la Long trail qui elle, ressemble plus à un authentique sentier de randonnée familiale. Qu’importe, nous avons atteint le Taft Lodge dans un temps record et fait la dernière portion avant la pause dîner dans le temps de le dire.
Après avoir fait le plein d’énergie au pied du dernier « pitch », appelé The chin , nous nous sommes mis à grimper un à un le vrai défi!! Quelques un avec le sourire, d’autres avec un regard inquiet, mais tous avaient le « feeling » d’une vrai ascension alpine jusqu’au sommet. WOW!
Personnellement, difficile de traduire le sentiment qui m’habite dans les montagnes, surtout quand les conditions ne sont pas idéales. Brouillard épais, rafale de vent, etc… Remarquez que les conditions, en général, au delà de la ligne des arbres, sont rarement idéales.
Avons nous senti la confiance se déstabiliser un brin sur la crête?
Je me permet une conclusion pour ce moment de la journée, fort en émotion.
Avons nous senti la confiance se déstabiliser un brin sur la crête?
Je me permet une conclusion pour ce moment de la journée, fort en émotion.
Premièrement, pour plusieurs du groupe, c’était une première sur un sommet de plus de 4000 pieds en hiver.
Deuxièmement, avec le brouillard très dense, on perd nos repères visuels et le sentiment d’avoir perdue son chemin s’intensifie. Et je m’inclus la dedans.
En bref, je suis bien content que tous le monde est gardé sont sang froid et la traversée de la crête, a été mémorable pour la plupart de ce que j’ai reçu comme commentaires.
Le reste de la journée, pendant la descente, a été ensoleillée et agréable coté raquettes en hors-piste et le souper copieux au Matterhorn très apprécié également.
Deuxièmement, avec le brouillard très dense, on perd nos repères visuels et le sentiment d’avoir perdue son chemin s’intensifie. Et je m’inclus la dedans.
En bref, je suis bien content que tous le monde est gardé sont sang froid et la traversée de la crête, a été mémorable pour la plupart de ce que j’ai reçu comme commentaires.
Le reste de la journée, pendant la descente, a été ensoleillée et agréable coté raquettes en hors-piste et le souper copieux au Matterhorn très apprécié également.
À la prochaine les montagneux !!
7 commentaires:
Bonjour cher Luc,
pourrais-tu inclure des nouvelles de la célibataire monoparentale que tu laisses à la maison losque tu pars en expédition ?...Ce n'est pas que tes récits ne sont pas intéressants(T'es un des gars les plus divertissants que je connaisse !) ...mais chaque fois que je te lis, je prends en quelque sorte de tes nouvelles et il me semble qu'il me manque toujours des nouvelles de la belle Ève ! Continue de rêver...et de partager tes rêves avec nous !
Depuis cette randonnée, je ne cesse de revoir des moments et de les revivre en souriant, confortablement installée, un peu dans la lune. C’était bon. La première demie-heure de la montée m’a réveillé drastiquement le système. La fébrilité s’est accentuée en avançant. Après est venu un état étrangement second qui m’a surpassée jusqu’à la fin. Je n’oublierai jamais cette journée et le bonheur ressenti. On garde toujours un peu de ces aventures en soi je crois.
C’était intense par moment, mais je suis contente d’être parvenue à vous suivre. Merci à vous tous, les six, d’être aussi sympathiques. J’espère vous suivre dans de nouvelles escapades, et la prochaine fois, je souhaite que les tendres moitiés montagnardes viendront m’aider à assurer l’égalité des sexes.
Une personne qui vous fait vraiment confiance dans la lecture des cartes topographiques,
Lyne
P.-S. Luc devrait inclure mes photos sous peu. Elles sont débiles! Merci pour les vôtres.
Comment ça, «La modération des commentaires a été activée. Tous les commentaires doivent être approuvés par l’auteur du blog»?
Où est passée la liberté d'expression? Quels sont les propos ayant amené l'auteur du blog à des mesures si drastiques?
J'espère donc que le présent commentaires réussira à passer à travers la censure!
Je partage les sentiments exprimés par Lyne et Luc; cette journée a été des plus agréables. La température était clémente et l'accomplissement des sommets the Chin et the Nose, séparés par une crête féerique dans le brouillard, ont certainement ajouté à mon plaisir. C'est dans des circonstances comme celles-là que l'on prend conscience que le bonheur se trouve souvent dans la simplicité.
«je fais des tests sur des options plus avancés comme le filtrage des commentaires. Mais inquiète toi pas, tu es administrateur du blog comme moi, donc tu es libre de publier articles et commentaires sans passer par moi.
Cher blogueur randonneur,
pour citer mon savant conjoint, il est vrai que quand on lit un commentaire, on a que les mots sans le ton ni l'intonation...alors peut-être essayer de me relire en y mettant un ton familier et une intonation sans aucune malice d'une amie qui veut juste prendre des nouvelles d'une bonne copine qui lui manque beaucoup et qui n'a pas son blog pour partager sa vie tourbillonnante !
J'ai bien hâte de voir les photos de Lyne!
Ah bon...Madeleine, ton commentaire était en attente d'acceptation pour qu'il soit visible. Désolé pour le délai, je vais enlever cette option ridicule.
À part ça nous en étions où? Ah oui! l'intonation...
Tu as parfaitement raison là-dessus. Je dois aussi faire attention à ceux qui viennent sur mon blogue.
J'en parcours tellement à chaque semaine et j'écris sur des forums aussi. Tellement que j'oublie de me relire souvent avant de publier. Je devrais parfois m'automodérer.
Une chose est sure, je comprends de mieux en mieux les impacts d'avoir une fenêtre et des mots qui sont lus par plusieurs sur le web. Et aussi les points à améliorer et les comportements à adopter m'apparaissent plus clairs comme mon français écrit.
Merci Madeleine.
Désolé encore pour mon roman...
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