Le bon vieux Jacques Languirand, vous le connaissez? Il est devenu depuis quelque mois, quelqu’un de familier pour moi. Il est l’animateur de l’émission « Par quatre chemins » diffusé par la première chaîne de Radio-Canada le dimanche soir, et ce, depuis 35 ans!
photo: Jean-Pierre Huard
Plage Fraser, Parc du Mont Orford
Au fil des émissions, j’ai trouvé et je trouve encore beaucoup d’inspiration et de pensée positive. J’y ai découvert des personnages étonnants. Des historiens, des physiciens, des philosophes, des sociologues, des climatologues et j’en passe…Des auteurs tout aussi incroyables les uns que les autres et qui ont, de par leurs styles, marqué leurs époques et leurs sphères de travaux. C’est d’autant plus fascinant d’apprendre et de comprendre qu’il y a tellement de livres et d’ouvrages marquants qui gagneraient à être lus et étudiés. Une source inépuisable de savoir mieux vivre, mais surtout de savoir mieux être. Mieux vivre et mieux être sur notre petite planète bleue, si fragile…Moi n’étant pas un rat de bibliothèque de premier ordre, c’est par la voix de M. Languirand qui, avec son verbe autoritaire, mais coloré, relate les passages clés de ces ouvrages, pour nous en ressortir les messages à retenir.
Dans les derniers mois, il a été question d’un sujet qui me tient à coeur et qui m’a fait réfléchir, encore… La relation de l’homme avec la planète et ses ressources.
Je vous le partage à l’instant avant que vous commenciez à douter de mon état psychique pendant que j’écris ces lignes, car, manifestement, ce n’est pas dans tous mes articles que j’étale mes maîtres à pensées… Alors, ne vous inquiétez pas, ma santé est bonne, je vais très bien et la pensée montagnarde y adhère en tout point de vue. C’est bien ce que vous voulez savoir non?
L’idée première du discours c’était de ne rien tenir pour acquis. Bon OK ça va ! Chérie ! Je t’aime et je te redécouvre à chaque jour…C’est bien ça…Oui mais, on parle ici de tout ce qui nous entoure. Nos ressources, comme l’eau, l’air que l’on respire, nos forêts. L’idée c’est d’agir comme si on allait en manquer le lendemain. Oui cela a l’air tragique à primes abords, mais c’est une approche qui devra faire son chemin inévitablement un jour.
Ensuite, en tant qu’habitant de la terre, réapprendre à tout ressentir, tout percevoir, s’émerveiller devant la nature et tout ce qui la compose. Selon l’auteur de cet ouvrage, l’homme a perdu le sens de l’émerveillement face à son habitat, puisqu’il n’hésite plus à le transformer en profit, et ainsi l’annihiler petit à petit. Il se contente simplement de contempler sa demeure qu’il a payée ou plutôt empruntée à la banque.
Et finalement, toujours remettre ses actions en question, car rien n’est stable…
Élargissez votre monde!! Ça revient probablement à dire de regarder la terre dans son précepte évolutionniste et non stationnaire.
Comment nos actions communes peuvent interagirent avec notre environnement planétaire qui tant à se métamorphoser.
Jacques Languirand parlait d’un ouvrage rédigé par un collectif auquel a participé Riccardo Petrella.
Selon les données les plus récentes, 1,4 milliard de personnes sont privées d’eau potable sur cette planète.
Dans les derniers mois, il a été question d’un sujet qui me tient à coeur et qui m’a fait réfléchir, encore… La relation de l’homme avec la planète et ses ressources.
Je vous le partage à l’instant avant que vous commenciez à douter de mon état psychique pendant que j’écris ces lignes, car, manifestement, ce n’est pas dans tous mes articles que j’étale mes maîtres à pensées… Alors, ne vous inquiétez pas, ma santé est bonne, je vais très bien et la pensée montagnarde y adhère en tout point de vue. C’est bien ce que vous voulez savoir non?
L’idée première du discours c’était de ne rien tenir pour acquis. Bon OK ça va ! Chérie ! Je t’aime et je te redécouvre à chaque jour…C’est bien ça…Oui mais, on parle ici de tout ce qui nous entoure. Nos ressources, comme l’eau, l’air que l’on respire, nos forêts. L’idée c’est d’agir comme si on allait en manquer le lendemain. Oui cela a l’air tragique à primes abords, mais c’est une approche qui devra faire son chemin inévitablement un jour.
Ensuite, en tant qu’habitant de la terre, réapprendre à tout ressentir, tout percevoir, s’émerveiller devant la nature et tout ce qui la compose. Selon l’auteur de cet ouvrage, l’homme a perdu le sens de l’émerveillement face à son habitat, puisqu’il n’hésite plus à le transformer en profit, et ainsi l’annihiler petit à petit. Il se contente simplement de contempler sa demeure qu’il a payée ou plutôt empruntée à la banque.
Et finalement, toujours remettre ses actions en question, car rien n’est stable…
Élargissez votre monde!! Ça revient probablement à dire de regarder la terre dans son précepte évolutionniste et non stationnaire.
Comment nos actions communes peuvent interagirent avec notre environnement planétaire qui tant à se métamorphoser.
Jacques Languirand parlait d’un ouvrage rédigé par un collectif auquel a participé Riccardo Petrella.
Selon les données les plus récentes, 1,4 milliard de personnes sont privées d’eau potable sur cette planète.
Comment protéger cette eau qui est menacée d’être cocacolaïsée par des entreprises privées?
L’eau, source de vie, source de conflits, Sous la direction de Jean-Pierre Gélard, Éditions Presses Universitaires de Rennes.
Site de l'émission "Par 4 chemins" Société Radio-canada par ici
Aucun commentaire:
Publier un commentaire